Vous vous souvenez de la première fois où vous avez essayé de monter un meuble IKEA ? Cette sensation de confusion totale face à une montagne de vis et de planches ? Eh bien, bienvenue dans le monde des organismes de crédit ! C’est un peu pareil, sauf qu’au lieu de risquer d’avoir une étagère bancale, c’est votre avenir financier qui est en jeu. Pas de panique, on va démêler tout ça ensemble !
C’est quoi au juste ?
Imaginez les organismes de crédit comme ces amis qui sont toujours partants pour vous prêter de l’argent quand vous êtes dans les difficultés. Sauf qu’au lieu de vous demander de leur payer une bière plus tard, ils veulent des intérêts. Ces organismes sont comme les bibliothèques de l’argent : ils vous le prêtent pour un temps, mais il faut le rendre, et avec un petit bonus.
On en trouve de toutes sortes :
- Les banques traditionnelles appelées banque de dépôt : C’est comme le restaurant du coin, tout le monde connaît.
- Les établissements de crédit spécialisés : Pensez à eux comme à des restaurants à thème. Vous voulez un crédit auto ? C’est leur spécialité ! Les taux sont inférieurs aux mais il faut monter un dossier pour l’obtenir
- Les organismes de microcrédit : Le food truck des finances. Petits montants, service rapide mais attentions les taux peuvent vite grimper
- Les plateformes en ligne : L’équivalent d’Uber Eats pour le crédit. Rapide, pratique, mais attention aux frais de livraison ! (les taux peuvent être importants pour une réserve d’argent)
Pourquoi on irait les voir ?
Vous vous demandez peut-être pourquoi ne pas simplement casser sa tirelire ou demander à Tonton Bernard ? Eh bien, à moins que votre tirelire ne soit la taille d’un cochon géant ou que Tonton Bernard ait gagné au loto, voici pourquoi les organismes de crédit peuvent être utiles :
- Ils ont plus de sous que Tonton Bernard (en général).
- Ils ne vous demanderont pas de les rembourser au prochain repas de famille.
- Ils ne vous jugeront pas (trop) sur vos choix financiers.
- Ils peuvent vous prêter de quoi acheter une maison, pas juste de quoi vous offrir un café.
Comment choisir sans perdre la boule ?
Choisir un organisme de crédit, c’est un peu comme choisir un vêtement : il faut que ça vous convienne et que ça ne vous ruine pas. Voici quelques astuces :
- Les taux d’intérêt : C’est le prix de location de l’argent. Comparez-les comme vous compareriez le prix des pâtes au supermarché.
- Les frais cachés : Cherchez-les comme vous cherchiez les épinards dans les dents de quelqu’un. S’il y en a, mieux vaut le savoir tout de suite !
- La réputation : Demandez autour de vous. Si votre voisine a dû vendre ses bijoux de famille pour rembourser son crédit, peut-être chercher ailleurs ?
- La flexibilité : Pouvoir changer ses mensualités, c’est comme avoir un pantalon à élastique. On ne sait jamais, ça peut servir.
- Le service client : Vous voulez parler à un humain ou à un robot qui ne comprend pas quand vous dites “Parler à un conseiller” ? Choisissez bien !
Les pièges, ou comment éviter de se retrouver dans “Cauchemar en cuisine” version finance
Dans le monde du crédit, il y a plus de pièges que dans un épisode de Fort Boyard. Voici ceux à éviter :
- Le crédit renouvelable : C’est comme un buffet à volonté, sauf qu’à la fin, c’est vous qu’on mange.
- Les taux variables : aussi imprévisibles que la météo en Bretagne. Un jour au soleil, le lendemain sous la pluie de dettes.
- L’accumulation de petits crédits : C’est comme grignoter toute la journée. À la fin, on a mal au ventre et au porte-monnaie.
- Les offres miraculeuses : Si quelqu’un vous propose un crédit sans condition avec un taux ridicule, méfiez-vous. C’est probablement aussi réel que les abdos en 7 jours sans effort.
- Le surendettement : C’est comme essayer d’éteindre un feu avec de l’essence. Ça ne fait qu’empirer les choses.
Et si on sortait des sentiers battus ?
Si les organismes de crédit classiques vous font autant envie qu’un cours de maths un lundi matin, il existe des alternatives :
- Le crowdlending : C’est comme si tout le quartier se cotisait pour vous prêter de l’argent.
- Les prêts entre particuliers : Imaginez Tinder, mais pour emprunter de l’argent plutôt que de trouver l’amour.
- Le crédit municipal : Aussi appelé “Ma Tante”. C’est comme mettre sa PlayStation en gage chez un ami, mais en version officielle.
- Les aides de l’État : Pour certains projets, l’État peut vous aider. C’est un peu comme quand vos parents vous donnent un billet pour le cinéma, mais en plus sérieux.
Comment négocier sans finir en position du lotus ?
Négocier avec un organisme de crédit, c’est un peu comme négocier avec un enfant de 3 ans pour qu’il mange ses brocolis. Difficile, mais pas impossible :
- Faites jouer la concurrence : “Mais chez Crédit Patate, ils m’ont dit que…”
- Mettez en avant vos atouts : Vous payez toujours vos factures à temps ? Vous avez un emploi stable ? Vantez-vous un peu, c’est le moment !
- Négociez tout : Taux, frais, assurance… Tout est négociable. C’est comme au marché, mais sans tomates.
- N’ayez pas peur de partir : Parfois, faire mine de s’en aller peut faire des miracles. C’est comme avec les enfants, quand on fait semblant de manger leur dessert.
Le mot de la fin
le crédit, c’est comme une boîte de chocolats…
Finalement, les organismes de crédit sont un peu comme une boîte de chocolats : c’est tentant, c’est bon, mais faut pas abuser. L’important, c’est de comprendre dans quoi on s’embarque avant de croquer dedans.
Rappelez-vous : emprunter de l’argent, c’est comme emprunter le pull de votre conjoint. C’est pratique sur le moment, mais va falloir le rendre un jour (et sans trous, si possible).
Maintenant que vous êtes incollable sur le sujet, vous allez pouvoir impressionner vos amis lors du prochain apéro. “Tu savais que le crédit renouvelable, c’est comme… “. Bon, d’accord, peut-être que ça n’impressionnera que votre banquier. Mais hey, c’est déjà ça !
Allez, armez-vous de courage (et de votre calculatrice) et partez à l’aventure dans la jungle du crédit. Et n’oubliez pas : dans le doute, demandez toujours l’avis de Tonton Bernard. Même s’il n’y connaît rien, au moins, ça vous fera une bonne anecdote pour le prochain repas de famille !